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Un bruit léger sur les marches de pierre allant à la porte d’entrée indiqua que l’instant était venu. Eulalie ne bougea pas immédiatement, laissant le visiteur pouvoir affecter les siècles d’affronter son hésitation. Le chat noir, fidèle gardien du salon, leva le minois et fixa la porte avec une intensité silencieuse. Il savait que cette nuit n’était toujours pas terminée, que la jolie voyance avait encore une information à partager avant que l’aube ne vienne dissiper les mystères de l’obscurité. La poignée tourna doucement, et un légèreté d’air détaché s’engouffra dans la pièce dans le cas ou la porte s’ouvrit pour finir. Une silhouette fine, enveloppée dans un manteau usé, se dessina dans l’encadrement. Un homme aux traits tirés par la vexation, son regard profond étudiant l’intérieur du salon tels que s’il redoutait ce qu’il allait y saisir. Il hésita un évènement avant de franchir le commencement, mais une acception invisible semblait le coûter à évoluer. L’encens, l'éclairage tamisée et l’ambiance feutrée l’accueillirent avec la finesse qui est à vous aux lieux où le temps apparaît suspendu. Il referma mollement la porte coccyxes lui, à savoir pour se atténuer du domaine extérieur et s'enrôler pleinement dans cet emplacement où la voyance gratuite allait, pour un instant, lui révéler un fragment de ce qu’il cherchait. Eulalie l’invita à s’asseoir sans une expression, ses déplacements empreints d’une sentiment silencieuse. Elle savait que certaines personnes visiteurs n’avaient aucun besoin de longues introductions, que la jolie voyance agissait de époques en temps premier plan même que les cartes ne soient installées sur la table. L’homme, visiblement épuisé, posa ses main sur ses genoux, son regard fuyant les cartons mystérieuses qui l’entouraient. Il n’était pas venu par intérêt ni par amusement. Quelque étape l’avait poussé ici, une nécessité impérieuse qu’il n’avait pas su ignorer. 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